Nous défendons la gratuité d’une consommation électrique correspond aux trois quarts de celle d’un ménage-type occupant un appartement en résidence principale. Au-dessus de ce seuil, les tarifs seraient fortement progressifs pour dissuader le mauvais usage de l’énergie. Des exceptions seront prévues pour les personnes âgées, handicapées ou malades qui ont besoin d’un chauffage électrique d’appoint. Pour l’eau, ce même système réduira les charges mutualisées des locataires, mais augmentera celle des maisons individuelles, dont le ménage-type consomme deux, trois, voire quatre fois plus d’eau pour arroser son jardin et remplir sa piscine (à Genève, 6'000 piscines privées consomment 300'000 m3 d’eau).
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